Questionnaire permettant de valider un mémoire de fin d’étude en ostéopathie, intitulée : « L’effet d’une prise en charge ostéopathique sur la vessie neurologique d’une patiente paraplégique » :
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Cette étude est réalisée dans le cadre de mon Master 1 de Psychologie Clinique de la Santé (Université de Bordeaux) et est encadrée par une Maître de Conférence en psychologie de la santé. D’un point de vue théorique, cette étude a pour objectif de mieux comprendre les processus d’ajustement à la blessure médullaire. D’un point de vue clinique, elle a pour objectif d’améliorer et d’optimiser la prise en charge psychologique d’une personne confrontée à une atteinte médullaire.
Pour remplir ce questionnaire vous devez :
être majeur (+ 18 ans)
être confronté à une blessure médullaire (paraplégie ou tétraplégie) acquise, c’est-à-dire non congénitale
savoir lire et comprendre le français et ne pas présenter de déficiences entravant la compréhension des questions
confirmer votre consentement à l’étude ci-dessous
Le questionnaire.
Je m’appelle (prénom fictif) : Brigitte
Sexe : Une femme
Mon âge : 50 ans
Votre situation (handicap moteur, en fauteuil, autres, "pas de handicap") : Autres
Êtes-vous allé voir ce film ? : Oui
Avez-vous aimé ce film ? : Beaucoup
Pourquoi ?
Avec humour, le ton du discours est juste. Il aborde les situations de la vie quotidienne avec simplicité (les 2 hommes ne se prennent pas la tête avec des idées toutes faites).
La relation des 2 hommes est "sans hiérarchie", elle est équilibrée.
Pourquoi ce film plait-il autant ?
Chacun a ses raisons.
Ce film peut-il changer le regard de l’autre ?
Ce film a le mérite de parler du handicap et de choisir ce thème comme sujet central du film. Le nombre d’entrées permet de constater que le sujet en soi n’est pas "repoussant", il ne fait pas peur. Le bon sens de nombreux spectateurs est d’apprécier une œuvre culturelle. Il n’y a pas de "handicapophobie", c’est déjà rassurant de s’en rendre compte.
Ce que vous aimeriez dire tout simplement
C’est peut-être le regard des producteurs d’ œuvres culturelles qui change : "le sujet du handicap peut intéresser, ce n’est pas un obstacle à la vente".
Nous vous remercions pour votre témoignage Brigitte.