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RePairs Aidants est une action de sensibilisation-formation à destination de parents, conjoints, frères, sœurs,… qui apportent de l’aide à un proche en situation de handicap et sont ainsi en position d’aidant familial.
Calendrier national de formations à distance
Partir en séjour APF Évasion France handicap c’est partir à la découverte de lieux touristiques dans une ambiance collective dynamique : complicité et rigolade au rendez-vous !
Covid-19 : L’Institut pour la Recherche sur la Moelle Épinière et l’Encéphale (IRME) avec le soutien de GMF SOLIDARITÉ Fonds d’Entraide du Groupe GMF met en place une cellule de soutien psychologique pour les familles
Des téléconsultations avec nos psychologues et neuropsychologues vous sont proposées.
A qui la cellule de soutien psychologique s’adresse-t-elle ? La cellule de soutien psychologique s’adresse prioritairement aux familles des traumatisés médullaires et crâniens qui connaissent une forte exposition à des facteurs de stress et d’anxiété du fait du contexte inédit qu’engendre la crise du Coronavirus : difficultés rencontrées avec les aides à domicile, gestion de planning dans une situation organisationnelle dégradée, exposition à la souffrance/la mort, crainte d’une contamination…
Mais dans la mesure de nos possibilités, ce dispositif concerne chaque personne qui en ressent le besoin.
La prise de rendez-vous s’effectue par mail : irme@noos.fr
Voir notre sélection de liens mis à jour sur le covid-19 :
Information mise à jour le 01/02/2011
"La spasticité, caractérisée par l’augmentation du réflexe d’étirement (contraction musculaire) et l’hypertonie musculaire, accompagne la plupart des troubles neurologiques principalement secondaires aux accidents vasculaires cérébraux, traumatismes crâniens, lésions médullaires, sclérose en plaques, paralysie cérébrale.Traiter la spasticité ne peut être envisagé qu’après une analyse clinique rigoureuse afin d’en déterminer l’importance, les conséquences réelles et la répartition. Ceci suppose une bonne connaissance et rigueur d’examen.
Il est rappelé que tout malade spastique ne nécessite pas systématiquement de traitement. Lorsque celui-ci est mis en œuvre, la réflexion thérapeutique englobe les traitements médicamenteux présentés dans ces recommandations, mais également kinésithérapie, appareillage, auto-rééducation et chirurgie. Les traitements médicamenteux comportent :
Les traitements de première intention (traitements per os et toxine botulique) s’envisagent selon le caractère localisé ou diffus de la spasticité et selon l’étiologie." (...)
Site éditeur ; https://ansm.sante.fr.
mai 2012, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) est officiellement créée et vient se substituer à l’Afssaps.