Questionnaire permettant de valider un mémoire de fin d’étude en ostéopathie, intitulée : « L’effet d’une prise en charge ostéopathique sur la vessie neurologique d’une patiente paraplégique » :
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Cette étude est réalisée dans le cadre de mon Master 1 de Psychologie Clinique de la Santé (Université de Bordeaux) et est encadrée par une Maître de Conférence en psychologie de la santé. D’un point de vue théorique, cette étude a pour objectif de mieux comprendre les processus d’ajustement à la blessure médullaire. D’un point de vue clinique, elle a pour objectif d’améliorer et d’optimiser la prise en charge psychologique d’une personne confrontée à une atteinte médullaire.
Pour remplir ce questionnaire vous devez :
être majeur (+ 18 ans)
être confronté à une blessure médullaire (paraplégie ou tétraplégie) acquise, c’est-à-dire non congénitale
savoir lire et comprendre le français et ne pas présenter de déficiences entravant la compréhension des questions
confirmer votre consentement à l’étude ci-dessous
Le questionnaire.
Ludovic à l’âge de 15 ans plonge et devient tétraplégique.
Ludovic, tétraplégique : « Je ne voudrais la place de personne, pas même celle d’un mec valide »
A la suite d’un accident, à 15 ans, Ludovic est devenu tétraplégique. Il raconte le long chemin de sa reconstruction et, avec finesse et humour, les aléas de son quotidien.
Le Monde.fr | 24.07.2014 à 10h50 • Mis à jour le 28.07.2014 à 10h39 | Par Camille Bordenet.
Pour lire l’article du journal Le Monde :
(...) Quand on lui demande si derrière son sourire affable et son humour à toute épreuve ne se cachent pas des moments plus difficiles, il assure qu’il ne voudrait « être à la place de personne d’autre. Pas même celle d’un mec valide ». Même si, après avoir marqué un silence, il lève le voile sur ce qui lui manque le plus : le sport. « C’est la seule chose qu’il m’arrive d’envier quand je vois des joggeurs passer, souffle-t-il. Je déteste vraiment être enfermé. »
Alors, Ludovic prend « tout ce qui passe » pourvu que ça procure « des sensations phénoménales » : saut en parachute, course de Ferrari à 300 km/h et, bientôt, saut à l’élastique et ULM, si le médecin l’autorise. Voyager reste encore trop compliqué. « Mais je viens de m’inscrire en formation pour devenir éducateur auprès d’enfants en difficulté. Au moins, je suis sûr que je ne resterai pas cloîtré derrière un ordinateur. »