Questionnaire permettant de valider un mémoire de fin d’étude en ostéopathie, intitulée : « L’effet d’une prise en charge ostéopathique sur la vessie neurologique d’une patiente paraplégique » :
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Cette étude est réalisée dans le cadre de mon Master 1 de Psychologie Clinique de la Santé (Université de Bordeaux) et est encadrée par une Maître de Conférence en psychologie de la santé. D’un point de vue théorique, cette étude a pour objectif de mieux comprendre les processus d’ajustement à la blessure médullaire. D’un point de vue clinique, elle a pour objectif d’améliorer et d’optimiser la prise en charge psychologique d’une personne confrontée à une atteinte médullaire.
Pour remplir ce questionnaire vous devez :
être majeur (+ 18 ans)
être confronté à une blessure médullaire (paraplégie ou tétraplégie) acquise, c’est-à-dire non congénitale
savoir lire et comprendre le français et ne pas présenter de déficiences entravant la compréhension des questions
confirmer votre consentement à l’étude ci-dessous
Le questionnaire.
Si vous souhaitez témoigner n’hésitez pas à répondre à ce questionnaire qui servira de fil conducteur à votre récit.
Je m’appelle (pseudo) Mau et je suis un homme de 53 ans.
Date de mon accident : 19 novembre 2003.
Mon âge au moment de l’accident : 48 ans.
Mon handicap est dû à un accident de ... : travail.
Caractéristiques de mon handicap :
Paraplégie haute et complète.
Qu’est-ce qui a fondamentalement changé dans votre personnalité ? :
Je n’ai pas changé beaucoup, j’ai gardé confiance en moi et accepté mon handicap très rapidement.
J’aimerais dire aux personnes qui viennent d’être accidentées :
Prendre le temps de l’intégrer, de l’accepter et de garder son humour.
J’aimerais dire aux personnels soignants :
Dans l’ensemble j’ai été bien soigné et je garde un bon souvenir du milieu hospitalier.
J’aimerais dire aux personnes de l’entourage :
Ne faîtes pas la gueule à chaque fois que vous en parlez. La vie continue.
Y a t-il une chose que vous voulez ajouter ? :
Non je pense en avoir assez dit.
Nous vous remercions de votre témoignage