Questionnaire permettant de valider un mémoire de fin d’étude en ostéopathie, intitulée : « L’effet d’une prise en charge ostéopathique sur la vessie neurologique d’une patiente paraplégique » :
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Cette étude est réalisée dans le cadre de mon Master 1 de Psychologie Clinique de la Santé (Université de Bordeaux) et est encadrée par une Maître de Conférence en psychologie de la santé. D’un point de vue théorique, cette étude a pour objectif de mieux comprendre les processus d’ajustement à la blessure médullaire. D’un point de vue clinique, elle a pour objectif d’améliorer et d’optimiser la prise en charge psychologique d’une personne confrontée à une atteinte médullaire.
Pour remplir ce questionnaire vous devez :
être majeur (+ 18 ans)
être confronté à une blessure médullaire (paraplégie ou tétraplégie) acquise, c’est-à-dire non congénitale
savoir lire et comprendre le français et ne pas présenter de déficiences entravant la compréhension des questions
confirmer votre consentement à l’étude ci-dessous
Le questionnaire.
Sport paralympique : le boosting, une technique de dopage rare et dangereuse.
Se casser un doigt de pied, s’infliger des chocs électriques ou se tordre les testicules… certains athlètes paraplégiques et tétraplégiques peuvent se livrer à la mutilation dans le but d’améliorer leurs performances.
(...).
Pour la délégation française actuellement présente à Rio, cette pratique tient de toute façon de la « mythologie ». « Il est possible que certains soient en situation d’hyperréflexie autonome malgré eux : à cause d’un problème dû à une lésion cutanée, une infection urinaire ou un problème médical qui n’a pas été diagnostiqué au préalable. Mais pour le reste, je pense que le boosting en tant que dopage reste légendaire : sur les dix dernières années, pour ce qui est des Jeux paralympiques, aucun n’a été contrôlé dans cette situation », s’agace le médecin de l’équipe de France à Rio, Frederic Rusakiewicz. Parmi ses athlètes, il l’assure, jamais personne ne lui a confié avoir eu recours à cette technique radicale. Si le phénomène reste rare, l’IPC veut s’assurer qu’il disparaît pour de bon. « En durcissant les contrôles, on espère faire passer le message aux athlètes : restez en dehors de ça, parce que vous jouez avec votre vie. »
Par Romain Geoffroy Publié le 13 septembre 2016.
L’article en entier sur le journal : www.lemonde.fr.