En utilisant des approches génétiques et des modèles animaux, on a modifié le génome d’une souris pour que ses cellules microgliales deviennent fluorescentes. Cela permet de les distinguer des autres cellules. C’est là qu’on a observé que sans microglies, les dommages empirent. On s’est rendu compte que ces cellules contribuent à former une cicatrice qui empêche l’inflammation de se propager. La microglie a donc un effet bénéfique.
Prix Turnbull-Tator 2020 pour la recherche sur les lésions médullaires et commotions cérébrales.
Ce prix souligne son article publié en 2019 dans Nature Communications intitulé « Microglia are an essential component of the neuroprotective scar that forms after spinal cord injury ». https://www.nature.com
Lésions de la moelle épinière : importante découverte au CHU de Québec
Annie Labrecque 15 juillet 2021